La revue Gestalt, publiée par la société Française de Gestalt (SFG), m'a fait l'honneur d'accepter un de mes articles dans le numéro 56 de sa revue. Ce numéro est consacré aux expériences de thérapies en temps de pandémie, et de confinement.
A l'occasion d'une réunion entre collègues, je partageais une anecdote me concernant : j'avais décidé d'appeler un ou une collègue chaque jour pendant le premier confinement, pour palier à l'isolement. Et j'avais été surpris du résultat, et du voyage personnel que cela m'avait mené à vivre. La responsable de la revue m'ayant entendu, m'a suggéré de formaliser cette expérience sous forme de témoignage pour la revue. J'acceptais. Et ce fût à nouveau l'expérience difficile de l'écriture, et surtout : de la relecture, des réécritures suscitées par les propositions d'approfondissement que m'adressèrent les collègues du comité de lecture. Je vis trop souvent ces suggestions comme des défis, des mises à l'épreuve, et pas encore assez comme des témoignages d'intérêt et d'envie de voir émerger quelque-chose d'encore plus clair, plus vif, plus "a propos". Mais nous y sommes parvenu et je les en remercie très sincèrement.
L'article est donc disponible dans le numéro 56 de la revue : Amis et collègues, parlez-moi donc… Le confinement comme environnement propice à l’expérimentation gestaltiste.
Disponible auprès de la SFG (sfg@sfg-gestalt.com) ou sur le site de CAIRN, qui regroupe un très grand nombre de publications et d'ouvrage de sciences humaines et sociales.
Lien direct vers l'article sur CAIRN, ici.
Lien vers le bulletin de commande de la revue auprès de la SFG, ici.
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